à bicyclette... avec paulette

Je HAIS les transports en commun !

Pour commencer, situons notre histoire... Nous vivons donc ces palpitantes aventures dans une grande ville du Sud Ouest de la France (voila, tout est dit, débrouillez vous avec un pendule)... et j'ai fait le choix (mais qu'est ce qu'il m'a pris, et je suis abonnée en plus...)
de me déplacer dans ma ville en utilisant ce que l'on me suggère à grand coups de comm' : le bus, le tram et eventuellement pour les citadins qui ont des envies de suicide : le vélo. 

Mon abonnement me permet tout à loisir de me retrouver colmatée contre les portes du tram, bien chaleureusement entourée (de près)
de dizaines de concitoyens dont la douche ne fonctionne pas toujours, ou bien de sauter en marche dans un bus dont le chauffeur a juré en signant son contrat de travail qu'il aurait ma peau (je le sais, je le lis dans ses yeux). Le vélo, j'ai renoncé. Non, n'insistez pas, ces mini panneaux triangulaires m'autorisant à "tourner à droite" au feu rouge m'ont définitivement écartée de ce moyen de mettre fin à mes jours prématurément. 

Vivement la fin de l'ère du pétrole, que je puisse m'épancher sur ma vie passée à l'oreille de mon cheval...

 C.